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Mes pensées sur le Salon américain du livre

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Víctor García-Bory
Víctor García-Bory
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Mes pensées sur le Salon américain du livre

Tamara Strumfeld et Víctor García-Bory
Tamara Strumfeld et Víctor García-Bory

Par Victor García-Bory, trustee associé, de la Fondation Urantia,

New York, États-Unis

Alors que je me préparais à écrire cet article sur la participation de la Fondation Urantia au Salon américain du livre de 2015, tenu fin mai, je me suis agréablement remémoré le moment où j’ai trouvé Le Livre d’Urantia. C’était au début des années 90, et quel jour mémorable lorsque le livre arriva par la poste chez moi, à Mexico City.

Je me souviens très bien combien j’étais élevé spirituellement et extatique de joie, ce jour-là. Maintenant, permettez-moi de me concentrer sur le salon américain du livre ou BEA, là où la Fondation Urantia présentait Le Livre d’Urantia. Le BEA est le second plus grand salon du livre international du monde. Le salon du livre de Frankfort, tenu en Allemagne, est le plus grand ; le salon international du livre de Guadalajara, tenu à Mexico est le troisième plus grand.

Cette année, le BEA se tint du 27 mai au 29, au Centre Javits à New York City. La Fondation Urantia occupait un petit espace dans des pavillons principaux à l’expo, dans le même coin où les compagnies de commerce et de distribution nationales et internationales étaient situées. Cela permit à la Fondation de sceller d’autres relations avec des partenaires qui distribuent le livre en ce moment, aux États-Unis et en Amérique du Nord, aussi bien qu’avec des pays comme l’Amérique latine, l’Europe et d’autres régions. Il y eut aussi des occasions d’approfondir la tendance globale de l’industrie du livre afin d’en apprendre plus sur les opportunités et les challenges auxquels l’industrie doit faire face dans son ensemble, aujourd’hui.

Quelques 20 800 personnes ont participé au BEA, cette année, et cela a généré plus de quarante quatre mille messages Twitter, plus de vingt-deux mille « j’aime » de Facebook et quatre mille cinq- cents fans sur Instagram. Plus de mille représentants des medias étaient présents. Il y avait plus de 350 orateurs et plus de 85 sessions de conférence, avec un grand nombre d’entre elles tenues par un nombre important d’éditeurs venant de Chine, les invités d’honneur du Forum du marché global du BEA. Les types de participants étaient des libraires ( aussi bien de chaînes que des indépendants ) des acheteurs libraires spécialisés, des acheteurs pour les boutiques de musée et des bibliothécaires, entre autres. Le BEA était retransmis par webcast et par radio par PBS.

Bien que ce que je décrive, ci-dessus, puisse paraître impressionnant ou pas, au moment où j’ai écrit cet article, la page Facebook de la Fondation Urantia avait quelques dix mille « j’aime », la Coupe du monde féminine de la FIFA en avait plus de 467 mille, le Dalai Lama 11 millions et Taylor Swift en avait 71 millions. Cela démontre-t-il que la lecture de livres en général sur la planète ne croît pas ? Depuis quelques années, les experts de l’industrie ont écrit sur et parlé d’une baisse générale des ventes de livres. Aux États-Unis, et presque partout dans le monde, le marché semble être actuellement relativement stagnant, parce que les recettes et les ventes unitaires ont échoué à montrer des changements significatifs lors de ces dernières années et en particulier depuis 2012. Cela est vrai, notamment par une croissance maigre à nulle dans le secteur du livre numérique, l’année dernière. On dirait que beaucoup, de nos jours, préfèrent les médias sociaux, regarder des vidéos, écouter de la musique, jouer à des jeux et avoir d’autres activités plutôt que la lecture.

Pourquoi tout ceci est-il important ? Parce que cela démontre combien, l’échelle de la distribution du Livre d’Urantia est petite, bien que primordiale pour le futur de notre planète. C’est par la distribution commerciale que Le Livre d’Urantia a le mieux réussi à faire des progrès importants et soutenus, en termes de disponibilité élargie et de réduction significative de prix, à travers le monde.

De plus, comme nous le savons, « Le commerce a été le grand civilisateur en provoquant la fécondation croisée des cultures. » 69:4.8

La question de rendre Le Livre d’Urantia disponible et accessible à l’échelle mondiale n’est pas un défi banal. Mais, c’en est un qui, avec l’aide des lecteurs dévoués du Livre d’Urantia, a été et continue d’être atteint avec succès. Les travaux d’amour et les contributions de toutes sortes qui ont lieu, tous les jours partout dans le monde, permettent la disponibilité du Livre d’Urantia.

Oui, la mission devant nous est toujours aussi énorme, mais nous pouvons continuer à faire des progrès continus par l’engagement et la coopération des leaders, des lecteurs et des groupes, parmi les communautés locales et parmi les organisations à travers le monde.

Le Livre d’Urantia, a besoin de nous. La participation au Salon américain du livre, est une part importante de l’équation, comme assister à beaucoup d’autres salons du livre à travers le monde. Mais, souvenons-nous que c’est possible grâce à la coopération, l’aide et le soutien des lecteurs.

S’il y a une chose que je pourrais vous dire aujourd’hui, ce serait : Sachez que Le Livre d’Urantia a besoin de vous. Sachez que la Fondation Urantia a besoin de vous.

Distribuer Le Livre d’Urantia et le rendre disponible est un travail d’équipe de proportions mondiales, bien que de petite échelle. Si vous pouvez, joignez-vous à nous dans la joie du service et dans le frisson de faire la différence en apportant la cinquième révélation d’époque aux coins du monde. Contribuez ( ou continuez à contribuer ) de toutes les façons possibles. Faites-le dans votre village, ville, pays ou région. Mais participez. Soyez au service du cœur.

Contactez la Fondation Urantia en ligne, en personne ou par téléphone et apprenez comment vous pouvez être un maillon pour rendre Le Livre d’Urantia plus disponible et plus abordable aux lecteurs à travers le monde.

Rappelons-nous que, « En liaison avec Dieu, rien – absolument rien – n’est impossible. » 26:5.3