Appendice XVI. Dimensions espace et masse du maître univers

   
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APPENDICE XVI

DIMENSIONS PHYSIQUES D’ESPACE (ET DE MASSE) DU MAITRE UNIVERS

La dimension du grand univers

Dimension du niveau d’espace primaire

Dimension du niveau d’espace secondaire

Dimension du niveau d’espace tertiaire

Dimension du niveau d’espace quaternaire

Un sommaire des dimensions d’espace

Les fascicules donnent juste assez d’informations concernant la dimension physique de la création pour nous permettre de faire quelques calculs raisonnables concernant la dimension du maitre univers . Les calculs faits dans cet appendice sont basés sur deux groupes de facteurs : (1) Les informations concernant les distances - les dimensions spatiales ; (2) Les informations concernant les créations physiques - les dimensions massiques.

Informations concernant les distances : dimensions spatiales

(359.8) 32:2.11. Le rayon du superunivers d’Orvonton représente un peu moins de 250 000 années-lumière.

Il s’ensuit que le diamètre d’Orvonton (la distance horizontale du bord extérieur au bord intérieur) est deux fois son rayon, soit 500 000 années-lumière.

(129.12) 12:1.14. Entre les superunivers et le niveau primaire d’espace se trouve une zone tranquille dont la largeur moyenne est de 400 000 années-lumière.

(ibid.) À environ un demi-million d’années-lumière au-delà de la périphérie des superunivers, se trouve une zone d’activité énergétique dont « …[le volume et] l’intensité croissent sur une distance de plus de 25 millions d’années-lumière ». Tout cela se trouve dans le premier niveau d’espace extérieur.

Si cette zone augmente d’intensité sur plus de 25 millions d’années-lumière, il est alors logique d’en déduire qu’elle décroît en intensité sur 25 autres millions d’années-lumière. Ceci signifie que le diamètre transversal du premier niveau d’espace extérieur avoisine les 50 millions d’années-lumière.

(130.1) 12:1.15. À plus de 50 millions d’années-lumière au-delà des activités du niveau d’espace primaire, les physiciens d’Uversa ont observé des activités énergétiques encore plus grandes. Ce sont les préliminaires au développement physique du deuxième niveau d’espace extérieur.

Informations concernant les créations physiques : les dimensions massiques.

(129.8) 12:1.10 Havona avec ses corps de gravité obscurs est plus massif que les sept superunivers réunis. Ceci est dû à l’énorme masse des corps de gravité obscurs qui l’encerclent.

(132.2) 12:3.8. Environ 95% de la présente action de gravité de l’Ile du Paradis est occupée par le contrôle des systèmes physiques en dehors du grand univers.

Ce chiffre de 95 % n’est pas absolument sûr si l’on compare la taille physique des niveaux d’espace extérieurs avec la taille physique du grand univers, en raison de la haute concentration de masse dans les corps de gravité obscurs qui encerclent l’univers central. Si ces corps de gravité obscurs n’étaient pas pris en compte, le chiffre de 95 % serait même plus élevé.

En outre, la masse du grand univers tient plus d’une création physique finie que les univers nouvellement organisés de l’espace extérieur. Le temps qui passe augmentera encore le chiffre de 95 %.

(354.5) 31:10.19. Il y a au moins 70 000 agrégats physiques dans l’espace extérieur et chacun d’eux est plus grand qu’un superunivers.

(130.5) 12:2.3. Un jour ou l’autre, nos astronomes verront « …au moins 375 millions de nouvelles galaxies dans les lointaines étendues de l’espace extérieur. »

La question est de savoir si ces deux affirmations se réfèrent aux mêmes masses, ou à des créations physiques différentes . Dans cette étude, nous assumerons que les 70 000 agrégats sont tous dans le niveau d’espace primaire et que ces groupes majeurs forment les 375 millions de galaxies. Une considération superficielle de cette donnée pourrait suggérer que les 375 millions de galaxies soient dans le deuxième niveau d’espace ; mais, si c’était le cas, nous ne pourrions pas les voir. Nos télescopes ne peuvent pas voir à travers Orvonton, à cause de la poussière de l’espace, et cela représente seulement un demi-million d’années-lumière. Comment pourrions-nous jamais espérer voir au-delà du premier niveau d’espace qui représente plus de 50 millions d’années-lumière ?

(N.d.T.: Ces lignes ont été écrites avant le lancement du télescope spatial « Hubble » ).

§1. DIMENSION DU GRAND UNIVERS

Il apparaît que le diamètre transversal (horizontal) du niveau d’espace du superunivers est de l’ordre d’un demi-million d’années-lumière. Si nous voulons déterminer le rayon du grand univers, il faut augmenter ce chiffre du montant égal au rayon de Havona. (Le rayon de Havona, plus le diamètre transversal d’un superunivers, doit être égal au rayon du grand univers – la distance du centre de toutes choses à la périphérie des superunivers.)

À ce point, il y a deux problèmes qui gênent sérieusement nos calculs :

(a) Si nous essayons de pénétrer jusqu’au « centre de toutes choses », nous franchirons les bords intérieurs de l’espace lui-même. L’Ile du Paradis est au centre de toutes choses, et le Paradis n’est pas dans l’espace.

(b) Les fascicules ne nous donnent aucune information concernant la taille de l’univers central.

Qu’arriverait-il si nous choisissions d’ignorer Havona dans nos calculs ? Quelle est la valeur de l’aire spatiale de Havona comparée à celle d’un superunivers – disons Orvonton ? Nous savons que Havona contient un milliard de mondes et qu’Orvonton contiendra éventuellement mille milliards de mondes habités – et ceci ne prend en compte aucune des myriades des corps non habités : les soleils flamboyants, les satellites froids et sans air, les îles obscures et d’autres encore. De plus, les mondes de Havona se suivent en une progression linéaire organisées en sept circuits ; un tel système processionnaire pourrait être arrangé d’une manière plus compacte dans l’espace si on le comparait avec l’espace plus important requis dans Orvonton pour tenir compte des girations quelquefois sauvages des nébuleuses qui se désintègrent. Orvonton doit avoir beaucoup plus que mille fois la taille (ou le volume spatial) de Havona ; mais s’il n’avait que mille fois sa taille, alors le rayon de Havona ne serait qu’un dixième de 1 % du diamètre transversal d’Orvonton.

S’il en est ainsi, il semble raisonnable de ne pas tenir compte de Havona dans le calcul du rayon du grand univers. Mais, si nous sommes dans l’erreur, même si Havona est beaucoup plus grand dans l’espace que nous ne l’avons estimé, nous verrons bientôt qu’un tel facteur d’erreur sera insignifiant comparé aux très vastes dimensions que nous rencontrerons prochainement.

Nous assumerons, en conséquence, que le diamètre du grand univers est de l’ordre d’un million d’années-lumière, et que son rayon est de l’ordre d’un demimillion d’années-lumière.

Puisque nous allons rencontrer des nombres beaucoup plus grands que ceuxci, il serait beaucoup plus pratique de commencer tout de suite à symboliser ces distances. Essayons d’attribuer au grand univers une échelle de grandeur d’un diamètre de 5 cm et d’un rayon de 2, 5 cm. Bien que ce volume d’espace ne soit pas une sphère, nous pouvons y penser comme à une sphère pour simplifier notre concept. Nous pensons maintenant à une sphère d’un diamètre de 5 cm. Ce pourrait être une petite balle de tennis.

Si, en plus des 5cm du grand univers, nous attribuons à Havona une échelle de grandeur d’un diamètre de 2, 5 cm, cela signifierait que le grand univers aurait un diamètre de 7, 5 cm au lieu de 5cm, et son rayon serait de 3, 75 cm au lieu de 2, 5 cm.

§2. DIMENSION DU NIVEAU D’ESPACE PRIMAIRE

(Dans ces calculs, nous choisissons d’ignorer la zone semi-tranquille qui sépare le grand univers du premier niveau d’espace extérieur.)

Si le rayon transversal du grand univers est de 500 000 années-lumière et si le niveau d’espace primaire est de 50 millions d’années-lumière, nous avons alors une relation de un à cent sur une base linéaire. En d’autres termes, si nous symbolisons le rayon du grand univers en lui assignant la valeur de 2, 5 cm, alors, sur la même échelle, nous devons franchir 250 cm pour symboliser le diamètre transversal du premier niveau d’espace extérieur. C’est approximativement la relation d’un pouce à huit pieds. ( N.d.T. : Un pouce = 2, 54 cm ; un pied = 30, 48 cm).

La relation cubique est même plus frappante encore. Nous avons, pour les besoins de la visualisation, réduit le volume du grand univers à l’échelle d’une petite balle de tennis, une sphère d’un diamètre de 2 pouces ( 5 cm). Le rayon du grand univers plus le premier niveau d’espace extérieur équivaudrait alors à 101 pouces - 100 pouces plus 1 (252, 5 cm). Le diamètre de ce volume d’espace serait égal à deux fois le rayon, soit 202 pouces.( 505 cm). C’està-dire approximativement 16 pieds.

Nous pouvons maintenant visualiser notre balle de tennis suspendue au milieu d’une pièce de bonne taille, une pièce mesurant 16 pieds sur 16 pieds, et ayant un plafond haut de16 pieds. Une pièce qui fait 16 pieds sur 16 pieds, ( environ 25 m²) pourra contenir un bon nombre de gens ; et, avec le haut plafond, combien de balles de tennis pourra-t-elle contenir ?

À ce point, nous pouvons être pratiquement sûrs que le niveau d’espace primaire est beaucoup plus important que le grand univers — les sept superunivers plus Havona. Il y a dix Maîtres Architectes opérant dans le grand univers (trois dans Havona et sept dans les superunivers.) Il y a soixante-dix Architectes fonctionnant dans le niveau d’espace primaire, mais leur étendue de fonction doit être beaucoup plus grande, quant à l’espace, que celle des Architectes du grand univers.

Les dimensions massiques dans l’espace extérieur viendront à l’appui de ces estimations. Ici, il y a 70 000 agrégats de matière et chacun d’eux est déjà plus grand qu’un superunivers. Et ces domaines en sont juste à leurs débuts, d’un point de vue physique. 95 % de la gravité du Paradis est déjà occupée par le contrôle de ces systèmes physiques et d’autres systèmes physiques des espaces extérieurs. Comme ces créations continuent de grandir, il semblerait inévitable que plus de 99 % de la gravité du Paradis soit requise pour l’exercice du contrôle physique.

§3. DIMENSION DU NIVEAU D’ESPACE SECONDAIRE

En essayant de calculer la dimension du niveau d’espace secondaire, nous rencontrons un facteur inconnu. Nous avons établi un rapport de un à cent en comparant le rayon du grand univers au diamètre transversal du premier niveau d’espace extérieur. Les fascicules ne nous donnent aucune dimension concernant le niveau d’espace secondaire ; ils établissent tout juste que des activités d’énergie encore plus grandes ont lieu environ 50 millions d’années-lumière au-delà du premier niveau d’espace extérieur. Ce manque d’informations nous amène à faire quelques suppositions : nous savons que les niveaux d’espace grandissent à mesure que nous allons vers l’extérieur, mais quel est le taux de cet accroissement ? Est-ce un accroissement à taux constant ou est-ce un taux d’accélération ? Nous choisissons la supposition la plus conservatrice et nous assumerons que le taux d’accroissement est constant.

Si le taux d’accroissement est constant, nous pouvons alors proposer un double rapport: le rapport du rayon du grand univers au diamètre transversal du premier niveau d’espace extérieur, et le rapport de ce dernier au diamètre transversal du deuxième niveau d’espace extérieur. Ce rapport est de un à cent, comme 100 l’est à 10 000. Dans les termes de notre échelle en centimètres, nous pouvons illustrer ceci comme suit : Si le grand univers s’étend à partir du centre sur 2, 5 cm et si le premier niveau d’espace s’étend sur plus de 250 cm, alors le deuxième niveau d’espace s’étend vers l’extérieur sur 25 000 cm (ou 2, 5 km). C’est à peu près la même relation que nous avons entre un pouce et huit pieds et entre 8 pieds et 800 pieds (de 2, 5 cm à 250 cm, et de 225 cm à 25 000 cm ou 2, 5 km).

Si le diamètre transversal du deuxième niveau d’espace extérieur est de 25 000 cm, alors le rayon de l’univers total, du centre à la périphérie du deuxième niveau d’espace, serait symbolisé par 25 000 cm, plus 2, 5 cm.. Si nous choisis sons d’ignorer les deux plus petites distances nous pouvons dire que le diamètre de l’univers total, considéré jusqu’ici est de l’ordre de deux fois 25 000 cm, soit 50 000 cm (500 m).

À quel objet d’une taille familière pouvons-nous comparer cette distance de 500 m ? C’est à peu près la taille d’un bloc d’immeubles assez long. Essayez de visualiser un tel bloc ; il y a 16 appartements de 30 m de chaque coté, une bonne dimension pour un foyer. Maintenant essayons de visualiser ce bloc d’immeubles de 500 m de côté comme un cube. Souvenez-vous que c’est un bloc assez long et que 500 m en hauteur, c’est considérable. Avec ceci en tête, suspendez le vieux living-room classique au centre du bloc cubique d’immeubles ; c’est un cube de 5 m suspendu au centre d’un cube de 500 m. Maintenant, placez la balle de tennis au milieu du living-room. Nous visualisons la relation spatiale du deuxième niveau d’espace extérieur (le bloc d’immeubles) au premier niveau d’espace extérieur (le living-room) et au grand univers (la balle de tennis).

§4. DIMENSION DU NIVEAU D’ESPACE TERTIAIRE

Si nous ajoutons le quatrième membre à notre taux d’expansion d’espace de un à cent, nous aurons, à l’échelle, les choses suivantes : 2, 5 cm représente 250 cm, comme 250 cm représentent 25 000 cm (250 mètres), et 250 mètres représentent 25 000 mètres. Supposons que nous rendions ce dernier chiffre un peu plus facile à manier en le convertissant en kilomètres. ceci nous donnera une distance de 25 km. Cela signifie que le diamètre transversal du niveau d’espace tertiaire est symbolisé par une distance de 25 km.

Si tel est le cas, le diamètre de l’univers total que nous avons considéré jusqu’à ce point est approximativement deux fois 25 km ou 50 km. Comment pouvons-nous essayer de visualiser un cube de 50 km? Nous pouvons essayer de penser à une assez grande cité qui a une surface de 50 km sur 50 km. Essayons maintenant de projeter cette surface verticalement sur 50 km. Cette cité cubique est au bloc d’immeubles mesurant 500 mètres ce qu’est le niveau d’espace tertiaire au niveau secondaire. Et à l’intérieur de ce bloc nous avons encore le living-room (le niveau d’espace primaire) et, à l’intérieur du living-room, nous avons encore la balle de tennis (le grand univers ).

§5. DIMENSION DU NIVEAU D’ESPACE QUATERNAIRE

Nous sommes finalement arrivés à l’estimation de la grandeur du niveau d’espace le plus extérieur. Nous pouvons appliquer de nouveau la relation de un à cent et aller jusqu’à la quatrième comparaison : 2, 5 cm sont à 250 cm comme 250 cm le sont à 250 mètres, comme 250 mètres le sont à 25 km, et 25 km le sont à 2 500 km.

Si, en termes de notre échelle, le diamètre transversal du quatrième niveau d’espace extérieur est de 2 500 km et si nous ne tenons pas compte du tout des diamètres des niveaux d’espace les plus petits et les plus intérieurs, nous pouvons alors dire que le diamètre total du maitre univers entier est de l’ordre de deux fois 2 500, soit 5 000 km.

( Juste pour vérifier, regardons ce dont on n’a pas tenu compte lorsque nous n’avons pas voulu prendre en considération les distances relatives aux niveaux d’espace plus petits et plus intérieurs. Nous commençons avec 2, 5 cm, l’ajoutons à 250 cm et avons une distance de 250 cm plus 2, 5 cm, soit 252, 5 cm. Ajoutons alors 25 000 cm et nous avons 25 252, 5 cm, soit 252, 5 mètres; c’est un peu plus d’un quart de kilomètre. Ajoutons à ceci 25 km, et nous avons 25 km et quart. Pour en déduire le diamètre, nous doublons le nombre et arrivons à 50, 5 km. Ceci est à peine plus de 1% de 5 000 km. Nos estimations dans la précision de nos calculs sont de l’ordre de 99%, même lorsque nous ignorons les plus petites dimensions.)

Comment pouvons-nous mieux visualiser un volume d’espace de 5000 km de diamètre ? Le corps céleste qui approche le plus de cette taille est la lune. La lune a un diamètre de près de 3500 km, et nous essayons de visualiser une sphère de 5000 km. Si la lune était plus grande de 50% , elle aurait à peu près la dimension voulue.

Quand nous pensons à notre cité de 50 km cube au centre de la lune, nous essayons de nous faire une idée de la relation du niveau d’espace tertiaire au niveau d’espace quaternaire. Et, à l’intérieur de cette cité cubique, nous avons le bloc d’immeubles, le living-room et la balle de tennis.

§6. UN SOMMAIRE DES DIMENSIONS D’ESPACE

Il serait utile de récapituler le rapport dans lequel ont été calculés les diamètres transversaux des niveaux d’espace de l’univers.

Le niveau d’espace Le Rapport l’Échelle
Le grand univers 1 2, 5 cm
Le niveau d’espace primaire 100 250 cm
Le niveau d’espace secondaire 10,000 250 mètres
Le niveau d’espace tertiaire 1,000,000 25 km
Le niveau d’espace quaternaire 100,000,000 2 500 km

Quand ces données sont récapitulées en volumes, les chiffres ci-dessus doivent être multipliés par deux pour arriver aux diamètres des volumes concernés. Voici la récapitulation des relations entre volumes :

Le grand univers Une petite balle de tennis
Le niveau d’espace primaire Un living-room de 25 m² ( 125 m3 )
Le niveau d’espace secondaire Un immeuble de 250 000 m² (1 250 000 m3)
Le niveau d’espace tertiaire Une cité de 625 km² (15 625 km3 )
Le niveau d’espace quaternaire Un satellite de 5 000 km de diamètre, une grosse lune

La plupart des évènements dont parlent les fascicules concernent le deuxième âge de l’univers et le grand univers . Les univers extérieurs des âges futurs sont tout à fait différents, et de dimensions beaucoup plus grandes. L’émergence expérientielle du Suprême est une fonction du grand univers ; l’émergence de l’Ultime nécessite tout ce qui précède, plus le développement additionnel des quatre niveaux d’espace extérieurs.

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